Du poids de l'interdit relever le défi,
Pour éviter les cercles infinis,
Et de l'ennui vertueux la monotonie…
Un genou après l'autre,
Le joug âpre que tu portes,
Te fera douter et ployer.
Assez ! Assez ! Jusqu'à l'élan inespéré,
Qui mène à l'éveil,
A la perception visible et risible.
C'est le fardeau qui te lâchera,
Comme un manteau trop étroit
A l'ébauche de l'été.
Toi, debout tu te tiendras,
Prêt à embrasser les aléas
Pour enfin marcher libre !
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